Description de la Villa dans le livre

Extérieur : maisons sans âge, élégante, sans doute centenaire. D’un blanc un peu fané, comportant 3 niveaux, rectangulaire. Elle avait des proportions harmonieuses. Les portes et les fenêtres étaient d’origine ou avaient été l’objet d’une habile restauration.

Intérieur : moins classique que l’extérieur.

Le rez-de-chaussée est très clair, très ouvert, immense. Il avait dû y avoir plusieurs pièces mais on avait abattu les murs pratiquement partout afin de créer un espace gigantesque. À L’arrière, la façade sud avait été entièrement remplacée par des vitres et, au-delà des cèdres, la pelouse nue s’étendait jusqu’à la rivière.

Un colossal escalier é révolution dominait l’ouest de la salle. La rambarde est lisse comme du satin. Les parois, les hauts plafonds à poutres apparentes, les planchers et les tapis moelleux couvraient toute la palette des blancs. A gauche, sur une estrade supportant un spectaculaire piano à queue.

Quand on monte l’escalier, on arrive sur un vestibule lambrissé de panneaux en bois couleur miel, de la même teinte que les planchers. A cet étage se trouve, la chambre de Rosalie et Emmett, le bureau de Carlisle, les quartiers d’Alice. Au bout du couloir, il y a une grande croix de bois accrochée au mur. Cette croix date du début du XVIIème siècle, environ 1630. Elle appartenait au père de Carlisle qui l’avait sculptée. C’était celle qui était suspendue au-dessus du pupitre du temple où son père prêchait.

Le bureau de Carlisle : la pièce était haute de plafond, dotée de vastes fenêtres qui ouvraient sur l’ouest. Les murs étaient lambrissés, dans un bois sombres. La plupart de l’espace était dissimulé par d’importantes bibliothèques qui contenaient la plus impressionnante collection de livres privée. Il y a une énorme table d’acajou avec un fauteuil en cuir. Sur le mur où il y a la porte d’entré du bureau, se trouve d’innombrables tableaux de toute tailles, certains bigarrés, certains tristement monochromes ? Il y a entre autre une petite huile carrée au cadre en bois, cumulant diverses teintes et sépia et qui représentait une ville miniature aux toits raides et nichés les uns contre les autres d’om émergeaient de délicates flèches plantées au sommet de tours éparses. Au fond, une large rivière qu’enjambait un pont couvert d’édifices évoquant de minuscules cathédrales. C’était Londres dans les années 1650.

Il y en a également une autre qui dépeignait un vaste paysage aux mélancoliques couleurs automnales, une clairière vide et ombreuse dans une forêt avec, au loin, des cimes rocailleuses.
Autre tableau, le plus bigarré de tous, au cade le plus ornementé, le plus vaste aussi ; il était 2 fois plus grand que la porte à côté de laquelle il était accroché. Y pullulaient des personnages vêtus de toges multicolores et tourbillonnantes qui s’enroulaient autour de colonnes et se penchaient du haut de balcons en marbre. Un groupe de 4 personnages étaient représentés sur le plus haut des balcons, observant avec une certaine placidité le chaos qui régnait en dessous d’eux. Carlisle se trouve parmi eux. Ainsi que Aro, Caïus et Marcus, 2 bruns et un à la chevelure blanche.
Au bout du couloir se trouve un autre escalier menant à un autre vestibule lambrissé. La chambre de Edward se trouve à la dernière porte du couloir.

Chambre de Ed’ : la pièce donnait au sud, avec une façade toute en verre, comme au rez-de-chaussée. L’arrière de la maison devait n’être qu’une immense fenêtre. On distinguait les méandres de la rivière et la forêt qui se déployait jusqu’aux contreforts du massif de l’Olympus. Un mur était entièrement tapissé d’étagères supportant des CD. Sa chambre était mieux approvisionnée que la boutique d’un disquaire. Dans un coin, une chaîne sophistiquées. Il n’y a pas de lit (mais il va en acheter un plus tard…), juste un vaste canapé de cuir noir à l’allure confortable. Une épaisse moquette dorée dissimulait le plancher, et des tissus lourds d’une teinte légèrement plus soutenue étaient tendus sur les murs pour l’acoustique. Il classe ses CD par année.


Description de Bella, "Fascination" de Stephenie Meyer, pp.344-367

Merci Aurore =)
Je te plaint d'écrire tout ca =s

Merci chou'
j'espère que t'as fait un copier-coller sinon ça a dû te prendre du temps lol

ben, un copier-coller des notes que j'avais faites sur l'ordi XD

Sinon, de rien les filles